
Avec le retour des bars et des restaurants du Québec au maximum de leur capacité dès le 1er novembre, des acteurs de plusieurs autres milieux ont réclamé à leur tour des assouplissements.
Les propriétaires de gyms, de salons funéraires et l’industrie du mariage croient que le temps est venu d’augmenter le nombre de personnes qui peuvent fréquenter leurs établissements.
«On peut parler de 30% à 40% de perte de chiffre d’affaires. [...] Les gens qui pensent qu’on est revenus à la normale, non, on n’est pas encore là», a soutenu dimanche Francis Latulippe, copropriétaire et directeur du Énergie Cardio de Saint-Romuald.
À l’approche de l’hiver, les propriétaires de salons funéraires, qui doivent composer avec une limite de 50 personnes, souhaitent eux aussi un changement puisqu’ils se sentent mis de côté.
«Ça devient extrêmement difficile d’avoir de composer avec cette consigne-là. L’hiver s’en vient, on ne peut pas croire qu’on va laisser la 51e personne dehors en attendant d’aller offrir ses condoléances», a déploré Annie Saint-Pierre, directrice générale de la Corporation des thanatologues du Québec.
Cette dernière espère que la capacité d’accueil dans les salons funéraires sera revue pour que ces derniers «se mettent à jour comme tout le monde».
– D’après les informations de William Vachon
Bars et restos au maximum de leur capacité: d'autres secteurs réclament aussi des assouplissements - Le Journal de Montréal
Read More
No comments:
Post a Comment