DÉCRYPTAGE - D’après Meta et Epic Games, les métavers généreront des milliards de dollars. Des start-up en touchent les premiers fruits.
«Dans la vraie vie, je suis toujours habillé pareil. Mais je m’achète des baskets virtuelles stylées. Je préfère acquérir des vêtements virtuels que je pourrai porter dans le métavers plutôt que d’avoir une belle montre à mon poignet!» Cette surprenante confession de Florian Freyssenet, investisseur dans les cryptoactifs, pourrait bien devenir terriblement banale dans les années à venir.
Les géants de la tech, et en premier lieu Meta (le nouveau nom de Facebook), promettent un futur de science-fiction où, équipés de lunettes de réalité virtuelle ou augmentée, nous nous glisserons dans un monde virtuel palpable. Représentés sous la forme d’un avatar, comme dans un jeu vidéo, nous nous connecterons pour nous divertir, socialiser, travailler et surtout… consommer.
Habiller ses héros
«Si vous allez dans le métavers tous les jours, vous aurez besoin de vêtements virtuels, de biens virtuels, et de vivre des expériences variées» et parfois payantes, expliquait en octobre Mark Zuckerberg. Le dirigeant de Meta s’attend
Baskets, vêtements de luxe, terrains… Le business déjà bien réel des univers virtuels - Le Figaro
Read More
No comments:
Post a Comment