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Thursday, August 31, 2023

Polaris: apocalypse surréaliste - Le Journal de Québec

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Polaris: apocalypse surréaliste - Le Journal de Québec
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Tesla Model 3 Highland : nous avons rencontré en exclusivité la nouvelle berline électrique - Automobile Propre

Lancée en 2017, la Tesla Model 3 est rapidement devenue un monument dans l’histoire de l’automobile. L’heure est désormais au renouvellement, et nous sommes le premier média français à monter à bord.

Comme la plupart des constructeurs, Tesla s’est davantage intéressé aux hautes sphères de l’automobile à ses débuts pour s’offrir une brillante image à travers le monde. Statutaires, les Tesla Model S et Model X n’étaient toutefois pas à la portée de toutes les bourses. Ce n’est qu’en 2016 que la marque américaine a dévoilé celle qui allait devenir l’un des plus gros succès automobiles de l’histoire : la Tesla Model 3.

La promesse ? Un concentré de tout le savoir-faire de Tesla en matière d’électrification et de technologies embarquées, dans une voiture aux dimensions plus compactes, mieux pensée pour la famille et, surtout, disponible à moins de 30 000 $. Si cette dernière promesse ne s’est pas vraiment observée dès le lancement de la baby Tesla, cela n’a pas freiné les très nombreux clients : en six ans de carrière, déjà, la berline a été écoulée à plus de deux millions d’exemplaires à travers le monde. Un succès jamais vu auparavant pour une marque naissante, et ne proposant qu’une poignée de modèles au catalogue !

Disposant de véritables arguments, mais profitant surtout d’une solide image de marque, la berline électrique ne s’essouffle pas. Malgré sa capacité à se bonifier avec le temps grâce à ses mises à jour à distance, l’heure du renouvellement a tout de même sonné pour la Model 3. Alors que la Toile s’est enflammée comme jamais sur l’arrivée d’un modèle restylé, connu sous le nom de code Highland, la nouvelle mouture se présente aujourd’hui à nous, en exclusivité !

La Tesla Model 3 face à sa version restylée

Un coup de crayon au service de l’efficience

Conformément aux premières fuites observées sur Internet, la Tesla Model 3 restylée adopte un nouveau regard plus perçant, quelque peu inspiré par celui du prochain Roadster. La sportive a aussi déteint sur la berline, qui adopte maintenant des traits plus acérés, et fait l’impasse sur son groin si caractéristique. A l’arrière, l’évolution est sensible aussi, avec des feux à LED en C. Un tour de passe-passe stylistique qui permet d’élargir visuellement la voiture. Un côté plus statutaire aussi souligné par le nouveau diffuseur, assez similaire à celui de sa grande soeur, la Tesla Model S. Ce nouveau style lui fait ainsi gagner 3 cm en longueur (un total de 4,72 m), mais l’empattement de 2,88 m est identique.

Ces évolutions extérieures s’accompagnent de nouveaux jeux de jantes de 18 et 19 pouces. Comme toujours, les premières sont cachées par de larges enjoliveurs. La seconde monte se pare seulement de quelques caches entre les bâtons pour parfaire la pénétration dans l’air. Les clients pourront également choisir parmi deux nouvelles teintes de carrosserie Rouge Ultra et Gris Stealth.

Le nouveau coup de crayon prend toutefois en compte les considérations aérodynamiques, placées au centre du cahier des charges de ce projet Highland. D’après les designers de la marque présents lors de cette présentation, la berline affiche désormais un Cx de 0,219 (Cx de 0,23 auparavant), soit l’un des plus bas enregistrés par une Tesla à ce jour. Voilà qui sert donc l’efficience, d’autant plus améliorée par les pneus fournis de série : on y retrouve en entrée de gamme les Michelin e.Primacy, et les tous nouveaux Hankook iON Evo sur les jantes de 19 pouces.

Silence, ça tourne

Les équipes de Tesla se sont aussi concentrées sur l’un des plus gros défauts de la berline : son niveau sonore à bord. Grâce à ce restylage, les flux d’air sont ainsi mieux guidés autour de la cabine, ce qui permet de maîtriser les nuisances sonores. A cela s’ajoutent des vitres acoustiques tout autour de la cellule habitable (uniquement sur les portes avant avec la précédente mouture), ainsi que davantage d’insonorisants. Il suffit d’écouter le son feutré des portes lors de leur fermeture pour s’en convaincre, ce qui participe par ailleurs à la sensation de qualité perçue.

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Toutes ces améliorations permettent de réduire drastiquement les niveaux sonores à bord. Si nous ne manquerons pas de les mesurer sur nos bases habituelles, la marque américaine annonce pour le moment une réduction de 30 % des bruits aérodynamiques et ambiants, et une réduction de 20 % des bruits de roulement. Prometteur.

Voilà qui permettra donc aux occupants de mieux s’entendre à bord une fois sur l’autoroute, mais aussi de pouvoir profiter d’une meilleure expérience de communication au téléphone par exemple. La berline dispose pour cela d’un second micro, mais aussi de nouvelles installations hardware qui améliorent la réception. Grâce à un TCU revu (Telematic Control Unit), toutes les télécommunications sont optimisées : la transmission entre la voiture et le smartphone est plus performante, la réception du signal a été améliorée de 50 % alors que la portée du Wi-Fi, nécessaire aux mises à jour de la berline électrique, a été doublée.

Une Baby Model S à l’intérieur

Contrairement aux premières spéculations, l’ambiance intérieure de la Tesla Model 3 est assez similaire à celle que nous connaissons. A tout le moins en matière d’architecture, où l’on retrouve une large planche de bord sur laquelle repose un écran tactile central qui regroupe tous les accès. D’une taille de 15,4 pouces, la dalle présente une surface d’affichage plus large grâce aux bords plus fins. La Model 3 ne dispose donc toujours pas d’un combiné d’instrumentation derrière le volant, comme c’est les cas sur les Model S et Model X. Le conducteur habitué remarquera aussi l’apparition d’un nouveau volant uniquement rond (c’est à préciser avec Tesla), qui embarque des commandes physiques et tactiles à retour haptique. Comme sur les modèles haut de gamme, la conduite se fait donc sans les comodos.

En se penchant davantage à l’intérieur, on remarque toutefois de nettes améliorations en matière de qualité. Aux quelques retouches esthétiques (planche de bord, contreportes, …), la berline s’habille de matériaux de meilleure facture. La planche de bord enveloppante est greffée d’inserts en aluminum et d’un ruban de LED d’ambiance paramétrable. Elle est aussi agrémentée d’un tissu premium, alors que la sellerie est similaire à celle d’une Model S. L’assemblage des panneaux nous a semblé nettement amélioré depuis les toutes premières versions lancées sur le marché. Aussi, les évolutions en matière de qualité perçue sont notables : joints plus gros, vernis de coffre plus costauds, etc. Tesla a pris très au sérieux les retours de ses clients.

Côté équipement, on note l’apparition d’un double chargeur à induction de smartphone, des ports USB-C d’une puissance maximale de 65 W ainsi que d’un écran arrière de 8 pouces. En plus des fonctions chauffantes (à l’avant et l’arrière) les sièges avant sont maintenant ventilés. Enfin, la sono est confiée à un système composé de 17 HP, de deux subwoofers et de deux ampli’ sur la Grande Autonomie. On retrouve un dispositif à 9 HP, un subwoofer et un ampli’ sur la version d’entrée de gamme.

Un peu plus d’autonomie

Pour le reste, la Tesla Model 3 est parfaitement identique au précédent millésime. La plateforme technique et les chaînes de traction sont inchangées. En revanche, les ingénieurs ont revu les liaison au sol vers un peu plus de souplesse pour améliorer le confort à bord. Aussi, toujours dans l’optique de préserver le niveau sonore intérieur, les chocs seraient mieux absorbés par les nouveaux amortisseurs. Mais les portes-paroles nous ont assuré que le comportement typique de la berline ne serait pas sacrifié grâce à de nouveaux réglages de géométrie. A confirmer lors de notre essai.

Tesla Model 3 restylée : les fiches techniques

 
Autonomie WLTP (jantes 19 pouces) Autonomie est. (jantes 18 pouces) Poids Performances
Propulsion 513 km – 13,2 kWh/100 km 544 km 1 761 kg 201 km/h – 6,1 s
Grande Autonomie 529 km – 14 kWh/100 km 678 km 1 824 kg 201 km/h – 4,4 s

Côté fiche technique, pas de différences vraiment notables donc. Pas même en matière de poids, qui, malgré les insonorisants plus nombreux, reste à des niveaux similaires : selon les fiches, la Propulsion est créditée d’une masse de 1 761 kg (+9 kg), alors que la Grande Autonomie tombe à 1 824 kg (-6 kg). Les performances sont donc inchangées pour ces deux versions qui conservent leur batterie respective (même capacité et pic de puissance de recharge) et leur configuration mécanique. Cependant, la vitesse de pointe a été bridée dans les deux cas à 201 km/h. Une habitude qui s’observent de plus en plus chez les fabricants de voitures électriques.

La Tesla Model 3 Propulsion est homologuée pour 513 km d’autonomie avec les jantes optionnelles de 19 pouces, et estimée à 554 km avec les jantes plus petites. De son côté, la version Grande Autonomie grimpe à 629 km, voire 678 km avec ses petites jantes. Selon la norme WLTP, cela représente respectivement une rallonge de 22 et 27 km par rapport à la précédente mouture, soit un gain de 4,5 % dans les deux cas.

Les commandes sont ouvertes

Tant attendue, la Tesla Model 3 restylée corrige très sérieusement les défauts reprochées à la précédente version. Plus profilée et nettement améliorée à l’intérieur, la berline familiale se veut plus que jamais une petite Model S, accessible au plus grand nombre. Et c’est aussi le cas en matière d’autonomie : avec un rayon d’action (officieux, certes) de près de 680 km, elle écrase la concurrence. Voilà qui devrait ravir les nombreux clients de la marque, furieusement attachés à la Model 3, qui devraient par ailleurs profiter d’un meilleur confort à bord. Il faudra cependant attendre notre premier essai de cette nouvelle berline pour le confirmer, mais il semblerait bien que ce soit déjà dans la boîte. Restez connectés.

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En attendant, la Tesla Model 3 vient d’intégrer le catalogue de la marque. Malgré toute ses améliorations, les prix n’ont pas gonflés et elle garde un net avantage tarifaire : la Propulsion s’affiche à partir de 42 990 € alors que la Grande Autonomie est disponible à partir de 50 990 €, soit une rallonge de seulement 1 000 € dans les deux cas. Les premières livraisons seront lancées dès le mois d’octobre.

Vous pensez que c’est tout, que l’on peut se contenter de l’exclusivité de découvrir parmi les premiers cette nouvelle Tesla Model 3 ? Eh bien non. Rendez-vous dans quelques heures pour son essai sur Automobile Propre et nulle par ailleurs.

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Le thon à l'honneur dans un restaurant de Québec - TVA Nouvelles

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Le thon à l'honneur dans un restaurant de Québec  TVA Nouvelles
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« Starfield », l'odyssée spatiale où se perdre devient un plaisir - Le Monde

Le mois de septembre s’annonce froid, sortez les combinaisons.

C’est un moment qui pourrait résumer l’expérience Starfield. Après un combat intense au cœur d’un avant-poste planétaire envahi par des pirates de l’espace, on tombe, dans un coffre rempli d’objets de contrebande, sur des écrits religieux. Ceux-ci se revendent très cher, mais leur commerce est apparemment interdit. Sans trop savoir ce que cela implique, nous les embarquons tout de même et, sans plus y penser, nous dirigeons vers le système Alpha du Centaure. Las ! les autorités locales scannent notre vaisseau, repèrent le matériel de contrebande, et nous arrêtent.

Le début d’un tunnel de cinq heures qui nous verra accomplir autant de missions, et à l’issue duquel on ne sait plus très bien ce qu’à l’origine nous étions venus faire là. Mais ce n’est pas bien grave : les jeux du studio américain Bethesda ont toujours été des odes à la sérendipité, qui habituent le joueur à mettre de côté le scénario pour se perdre dans les méandres de leurs mondes virtuels.

A l’exception de Zelda : Tears of the Kingdom (Nintendo), aucun jeu n’était plus attendu en 2023 que Starfield, qui sort le 6 septembre sur Xbox et PC. Parce que c’est la première fois en près de trente ans que le studio Bethesda, connu pour ses jeux de rôle dans de vastes mondes ouverts, se risque à un nouvel univers. Après Tamriel (The Elder Scrolls) et la Terre dévastée de Fallout, la nouvelle destination du géant entre-temps racheté par Microsoft est désormais notre galaxie.

Une formule classique

Nous sommes au XXIVe siècle et la Terre est depuis bien longtemps devenue un désert inhabitable. Les humains ont colonisé un certain nombre de systèmes solaires, établi des villes, développé de nouvelles technologies spatiales et ont, bien évidemment, eu le temps de se faire la guerre et de signer des traités de paix. Certains systèmes sont ainsi sous la coupe de l’Union coloniale, d’autres sont rassemblés sous l’égide de la confédération Liber Astra, alors que sévissent de nombreux gangs de pirates, comme la Flotte écarlate, sorte de mafia spatiale.

C’est dans ce contexte que l’on rejoint les rangs de Constellation, un petit groupe étonnant et attachant d’explorateurs qui cherchent inlassablement à percer les mystères de l’Univers. Parmi eux, un riche industriel, un féru de religion ou encore une ancienne militaire, tous rassemblés dans une loge décorée comme un vieux manoir anglais.

L’équipe d’explorateurs de Constellation.

Sur la forme, Starfield ne perturbera pas les habitués des mondes ouverts développés par Bethesda. Le joueur commencera par se créer un personnage en sélectionnant différents traits, notamment son profil d’origine (diplomate, agriculteur, militaire…) qui déterminera ses aptitudes de départ. Par la suite, il est assez facile de progresser et d’en débloquer de nouvelles pour se construire un personnage équilibré. Les missions sont classiques et les affrontements au sol très réussis, grâce aux mouvements rendus possibles par le jetpack, la gravité variable d’une planète à l’autre ou encore certains pouvoirs surnaturels suggérés dans les vidéos promotionnelles du jeu – et que l’on évitera de trop dévoiler. Plus difficiles à prendre en main, les combats spatiaux ont ceci d’intéressant qu’il est possible de s’amarrer à des vaisseaux ennemis affaiblis pour les prendre à l’abordage.

Préparez-vous à traverser de nombreuses grottes mal éclairées.

Une écriture inégale

La quête principale, elle, consiste à enquêter sur les « artefacts », d’étranges fragments métalliques éparpillés aux quatre coins de la galaxie et censés renfermer les secrets de l’univers. On regrette que certaines des idées les plus intéressantes soient parfois introduites pour ne plus jamais ensuite réapparaître, en tout cas pendant les presque soixante heures que Le Monde a pu consacrer au jeu. Même constat concernant certains éléments de l’intrigue, qui restent en suspens à l’issue du générique de fin. A moins, qui sait, qu’ils ne trouvent leur réponse dans le mode « Nouvelle partie + », qu’il ne nous a pas été possible d’explorer de fond en comble. Mais tout de même : ce fil rouge est dans l’ensemble très convaincant, offrant des rebondissements et des moments de bravoure à la mise en scène réussie.

Le bilan est plus mitigé pour les quêtes dites de « faction », celles que l’on exécute pour le compte des diverses entités politiques du jeu – un grand classique des jeux du studio. Certaines sont passionnantes et très bien rythmées : l’histoire de la Flotte écarlate, par exemple, se glisse aisément au panthéon des meilleurs moments de jeux Bethesda. Mais d’autres fils narratifs se perdent dans des missions moins inventives, ou s’achèvent abruptement malgré une idée de départ très prometteuse. Qu’importe. Le cœur des jeux du studio a toujours été dans les à-côtés. Comme lorsqu’on tombe sur ce gigantesque vaisseau au hasard de l’orbite d’une lointaine planète et dont les communications ne répondent plus. Ou dans la rencontre inattendue avec un alien monstrueux sur une planète sinon déserte. Et sans parler des villes fourmillantes, ou de certaines planètes aux environnements particulièrement réussis, soulignés par un graphisme très plaisant.

On remerciera le mode photo qui permet d’obtenir de beaux plans des combats spatiaux.

Mais, paradoxalement, Starfield souffre parfois d’un trop-plein. Comme l’avait promis Todd Howard, réalisateur depuis vingt ans des jeux Bethesda, il y a ici un millier d’astres à explorer – même si la plupart sont déserts. Mais il y a un prix à payer. Dans les précédents jeux du studio, une partie du plaisir venait dans le fait de se promener au gré de ses envies, découvrant progressivement la mappemonde. Dans le gigantesque Starfield, l’exploration est moins spontanée : elle passe par une gigantesque carte stellaire, dans laquelle il faut choisir un système, puis une planète, puis un point sur lequel faire atterrir son vaisseau, vers lequel on est immédiatement transporté – sans avoir eu l’occasion de flâner ou de se perdre. D’un autre côté, Starfield fourmille de systèmes de jeu pour occuper son temps : décoration d’appartements en ville, personnalisation de vaisseaux de A à Z ou encore construction de bases sur les planètes de son choix.

Les grandes villes du jeu sont étonnament vastes et riches, comme ici la cité très cyberpunk de Neon.

Une faiblesse et une force

Au vu de l’ampleur du titre et du passif de Bethesda, les esprits chagrins pourront s’inquiéter de potentiels problèmes techniques. Dans les faits, nous n’avons pas constaté d’incident majeur. Qu’on se rassure : nous avons quand même été confrontés à un certain nombre de bugs absurdes, comme cette fois où, nous-même recherché par la police, nous avons été arrêtés alors que nous devions remettre un voleur aux autorités. Faute d’avoir pu boucler la mission, le malfrat s’est alors mis à réapparaître aux endroits les plus improbables, d’abord vivant, puis, après s’être pris une balle perdue, sous la forme d’un cadavre, hantant notre héros tel le fantôme de nos échecs passés.

C’est la faiblesse et la force de Starfield, jeu vidéo qui propose au joueur un vaste bac à sable, le laissant jouer, au choix, au shérif ou au voleur, se raconter lui-même des histoires et découvrir l’univers à son rythme. Techniquement et graphiquement réussi, il est de ces titres que l’on ne peut s’empêcher de reprendre jusqu’à en avoir découvert tous les secrets.

L’avis de Pixels

On a aimé :

  • La quête principale réussie ;
  • Les combats au sol très amusants ;
  • La sérendipité propre aux jeux Bethesda ;
  • Une finition technique rassurante.

On a moins aimé :

  • Certaines quêtes secondaires moins enthousiasmantes ;
  • Une exploration parfois décourageante.

C’est plutôt pour vous si…

  • Vous avez déjà passé deux cents heures sur Skyrim et Fallout 4 ;
  • Vous avez deux cents heures supplémentaires à tuer ;
  • Vous aimez tracer votre propre route dans les mondes ouverts.

Ce n’est plutôt pas pour vous si…

  • Vous avez besoin d’une aventure dirigiste ;
  • L’espace vous ennuie.

La note de Pixels :

24 années-lumière sur 30

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« Starfield », l'odyssée spatiale où se perdre devient un plaisir - Le Monde
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Alors que Starfield débarque, un des jeux les plus attendus de la décennie rentre en développement, les fans de Skyrim peuvent souffler ! - Millenium

Au cas où vous vivriez encore sur un astéroïde, Bethesda s'apprête à sortir son plus gros jeu depuis un moment dans quelques heures.

Starfield s'annonce comme le jeu à sensation de l'année et pourrait bien rafler la couronne du Game of The Year, même si la question est bien sûr en suspens avec des jeux comme Baldur's Gate 3 ou encore Tears of the Kingdom.

Game of the Year ou pas, Starfield promet du lourd, et les fans attendent Bethesda au tournant.

Pourtant, au milieu de toute cette hype, Bethesda a enfin lâché quelques informations sur un jeu peut être encore plus attendu que Starfield !

Enfin des news de The Elder Scroll 6 après des années de silence ?!

Vous vous souvenez peut-être de cette très brève annonce en 2018, durant laquelle Bethesda a révélé pour la première fois son plan de créer un The Elder Scroll 6. Si c'est le cas, vous savez probablement aussi que depuis, nada.

Aucune nouvelle n'a été donné en cinq ans, et les fans commençaient à s'impatienter. Surtout vu le travail sur Starfield.

Dans une interview avec Vandal, Pete Hines, vice-président de Bethesda a tenu enfin parler de ce jeu, et c'est une bonne nouvelle ! Lorsqu'on lui a demandé si le jeu était encore en phase de conceptualisation, Hines a expliqueé que non.

"Non. Il est en cours de développement, mais il en est encore à un stade préliminaire."

Le jeu n'est donc pas du tout prêt, comme on pouvait s'en douter, mais Bethesda semble savoir où ils vont !

Vous n'aurez pas d'informations pendant longtemps pour The Elder Scroll 6

Une autre chose que Pete Hines a voulu mettre au clair, c'est qu'il faudra attendre, et attendre longtemps, avant d'en savoir plus sur le jeu !

"Nous avons mis tous nos studios au service de Starfield pour qu'il soit le meilleur possible. Et oui, des personnes travaillent sur The Elder Scrolls VI, mais le studio s'est concentré sur ce projet. Donc non, vous n'allez pas entendre parler de The Elder Scrolls VI de sitôt. Starfield est notre priorité pour l'instant, et il continuera à l'être pendant un certain temps avant que nous ne parlions d'autre chose."

Starfield et ses mises à jour sont donc le focus de l'entreprise, mais au moins, on sait maintenant où en est le projet The Elder Scroll 6 !

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Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres - Les Maisons

Une résidence pleine de caractère et un environnement naturel ô combien tranquille: la combinaison idéale!

C'est très exactement ce que propose cette perle rare située à Chertsey dans Lanaudière et mise en vente par Josée Lemire de Via Capitale Saint-Donat.

Érigée en retrait de la route et nichée dans un écrin de verdure, cette inspirante maison normande construite en 1975 est un secret bien gardé au cœur de la forêt lanaudoise. Trônant fièrement et solidement sur un domaine de 20 acres, elle invite à un mode de vie paisible, en symbiose avec la nature. Et tout en bénéficiant d'un panorama digne d'une carte postale, vous n'aurez pas à sacrifier l'accès aux services ni aux grands centres!

Authentique, accueillante, cette maison vous attend!

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Entretenue minutieusement au fil du temps, la maison a été chouchoutée avec amour et a bénéficié de diverses améliorations, notamment le remplacement des fenêtres en 2021. 

En passant le pas de la porte, vous serez d'emblée envoûté par l'atmosphère invitante qui se dégage du rez-de-chaussée. Un escalier divise l'espace en deux, et ce premier niveau se distingue par les splendeurs de son esthétique champêtre. Vos yeux se poseront immédiatement sur le plafond en bois noueux traversé de poutres. Ce dernier participe pleinement au cachet enveloppant de cet intérieur dans lequel il fait bon vivre.

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

La salle à manger et la cuisine se côtoient dans une pièce au charme exquis. La lumière naturelle met en valeur le fini chaleureux des boiseries s'harmonisant aux nombreuses armoires en bois. Le rangement est abondant et la configuration de l'espace, réfléchie. 

Copieux repas partagés en excellente compagnie, souvenirs heureux et discussions animées seront de la partie!

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

De l'autre côté, le salon convie à la détente et au cocooning. 

Gage de chaleur et de réconfort, le foyer au bois à combustion lente de marque Jotul rehausse l'atmosphère feutrée de la pièce. On a envie de s'y blottir avec un bon livre et un thé brûlant!

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
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On complète l'exploration du rez-de-chaussée avec une petite salle d'eau doublée d'une salle de lavage. 

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

C'est à l'étage que se regroupent les trois chambres à coucher de la propriété.

En ouvrant la porte de la chambre principale, on découvre une pièce spacieuse qui convie à un petit monde de douceur. Malgré ses larges proportions, cette pièce demeure intime et propice à la détente. 

Dotée de deux garde-robes et d'un plancher en bois qui rehausse élégamment les murs dépouillés de tout artifice, cette chambre pourra être meublée et décorée exactement selon vos souhaits.

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Plus petites, mais tout aussi charmantes, les deux autres chambres au confort douillet conviendront à toutes sortes d'usages: chambres d'enfants ou d'invités, pièces vouées aux activités professionnelles ou ludiques... À vous de leur insuffler une touche toute personnelle!

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

La salle de bain accompagne les espaces de couchage à l'étage. Équipée d'un bain-douche paré de céramique, la pièce dispose en outre d'un meuble-vanité dont le coloris s'harmonise au carrelage du plancher.

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Non aménagé et pourvu d'une sortie extérieure, le sous-sol prend la forme d'un vaste atelier de 20' 5" x 40' 5". De quoi faire le bonheur des bricoleurs!

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Cette ravissante demeure normande repose sur un terrain boisé d'une superficie colossale de 899 598 pieds carrés.  

En raison de son zonage multiple (agricole, commercial, forestier, récréotouristique, résidentiel), ce havre de paix offre diverses possibilités. Un lieu de choix pour les gens qui ont des projets plein la tête!

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Derrière la résidence, une section défrichée se prête aux activités extérieures: repas en pleine nature, détente dans un hamac, retrouvailles autour d'un feu de camp à la belle étoile... Et pour les plus actifs, des sentiers pédestres sillonnent la forêt!

Et les voisins? Ici, vos principaux voisins, ce sont les arbres matures qui vous procurent intimité et ombrage! De temps à autre, quelques animaux vous visiteront: des oiseaux, chevreuils et renards se faufileront à travers cette nature généreuse.

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat
Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Quelques bâtiments utilitaires vous permettront de réaliser des projets en tout genre: deux garages détachés aux fonctions multiples, un abri pour le bois, de même qu'un poulailler qui fait partie des inclusions.

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

La vie dans cette oasis de verdure vous donnera l'impression d'être un peu seul au monde... Tout en résidant près des services!

En effet, vous n'aurez qu'un bref trajet à effectuer en voiture afin d'accéder aux commerces et services locaux. De plus, la proximité de la route 125 facilite vos escapades vers Montréal qui se trouve à seulement 45 minutes de ce paisible domaine. 

Sérénité et nature s'unissent à la perfection dans cette oasis boisée de 20 acres
Photos: Pascal Rimbault / Josée Lemire - Via Capitale Saint-Donat

Le 300, chemin Marie-Reine-des-Coeurs à Chertsey est à vendre pour 639 000$.

Apprenez-en plus en consultant la fiche de cette propriété hors du commun dans la région de Lanaudière.

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