
Justement en raison des difficultés posées par la proximité du Soleil. En plus de sa masse, il y a la chaleur. Les appareils devront vivre à l’occasion avec des températures de l’ordre de 350 degrés Celsius.
Le concepteur de l’assistance gravitationnelle
La sonde a été baptisée en l’honneur de Giuseppe Colombo (1920-1984), un mathématicien italien à qui on doit les premiers calculs sur cette technique consistant à utiliser la force gravitationnelle d’une planète pour accélérer ou freiner. Cette «assistance gravitationnelle» est maintenant fréquemment utilisée par les ingénieurs spatiaux.
L’engin européen, ou MPO (Mercury Planetary Orbiter), abrite 11 instruments destinés à l’étude de la surface de Mercure, de son intérieur et de la couche externe de son atmosphère (ou exosphère).
L’engin japonais, ou MMO (Mercury Magnetospheric Orbiter), abrite 5 instruments destinés à l’étude du champ magnétique et de l’exosphère… Ainsi que de leur interaction avec les particules circulant dans l’environnement immédiat de la planète.
Des cratères et des escarpements
Les photos prises par BepiColombo lors de son passage sont le résultat d’une décision tardive. Jusqu’en 2016, il n’était même pas prévu dans les plans que l’engin transporterait trois petites caméras. Elles ont une faible résolution et sont surtout là dans le but de satisfaire la curiosité du public, a-t-on justifié en 2016.
La planète la plus proche du Soleil: six survols de Mercure d'ici 2025 - l-express.ca
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